Tracteur Kubota BX2350

Bonjour,

J'ai regardé vite fait sur un des tracteurs, la batterie n'a pas de marquages non plus. Il s'agit probablement de celle d'origine, elle commence d'ailleurs a présenter des parois bombées, signe de gonflement des plaques et du début de la fin.
Je regarderai dès que possible sur l'autre tracteur, la batterie de remplacement.

A bientôt,
Nicolas.

Bonjour,

En réponse à une question ancienne de Kawazx9r de juillet 2011, la voici pour rappel:



The answer, la réponse:
Je me doutais de la chose mais il me fallait le prouver; il s'agit de la pompe à carburant ! La pompe est lancée avant le démarrage pour assurer la présence de carburant au moment du lancement.
Il se passe la même chose sur les voitures mais c'est alors tellement silencieux qu'on ne l'entend pas à moins d'être au calme et d'avoir l'ouïe fine.
Je me suis par hasard trouvé dans des conditions favorables: ambiance silencieuse et réservoir de gas-oil à un niveau intermédiaire. On entend alors distinctement l'écoulement du retour de carburant dans le réservoir.

Vu que cette pompe est amenée à tourner plusieurs heures d'affilée, il n'y a pas de raison de craindre de la laisser sous tension le temps de faire des essais et le cliquetis est donc le signe de son fonctionnement. Reste que c'est un fonctionnement inutile la plupart du temps lorsque l'on intervient sur l'engin, donc, inutile de laisser le contact de manière prolongée.

Voilà, une réponse longue à venir mais fiable.

Cordialement,
Nicolas.

Merci pour la réponse Touche a tout, sa me rassure car je me pausai de plus en plus de question a se sujet!

Bonjour,

Je remarquais depuis quelques temps que l'un des tracteurs avait son plateau de coupe qui remontait de moins en moins, même avec le relevage en position haute maxi.
Je n'ai pas compris tout de suite ce qui se passait car c'est venu très progressivement et j'ai tout d'abord cru que le conducteur habituel oubliait de relever sa coupe a chaque démarrage... Jusqu'au jour où j'ai dû m'en servir et où j'ai bien été obligé de constater par moi-même. Le relevage fonctionne bien (à l'arrière, la course est correcte), pas de fuite hydraulique, le relevage ne descend pas tout seul, même si on le sollicite fermement.
rien ne bloque le mouvement du relevage ventral, pas de débris coincé, et le mouvement semble normal sur la course restante.

Je suis donc la tringlerie qui transmet le relevage arrière vers le ventral, elle passe entre le chassis et la roue arrière gauche. sur l'arrière, la bielle comporte une longue lumière dans laquelle un axe transite pour compenser la différence de course netre relevage arrière et ventral (ce dernier est plus court et il faut compenser la course manquante pour ne rien arracher).

Au bout de ce mécanisme, une vis de réglage et son contre-écrou etaient tout simplement dévissés, causant une remontée insuffisante.
Dans le cas du plateau de coupe standard, la vis doit être enfoncée le plus possible pour un relevage maxi. Et encore, même ainsi, le plateau n'est pas en contact avec le chassis et reste suspendu et soumis à un balancement et donc des chocs contre le chassis pendant les trajets sur sols irréguliers.
Je n'ai pas de quoi essayer une vis plus longue mais ça mériterait d'être exploré, en plus de silent-blocks pour amortir aux points de contact. Si on pouvait relever un peu plus haut le ventral, on éviterait quelques collisions avec des obstacles comme des bordures de trottoir, des souches...

J'ai tout simplement remonté la vis avec un frein-filet moyen et le problème est réglé, du moins, la situation est revenue à celle d'origine.

Cordialement,
Nicolas.

Bonjour,

Voici une mésaventure qui mérite d'être lue et le défaut vérifié par tous les utilisateurs:

Un des tracteurs est revenu hier avec son plateau de coupe qui traînait presque par terre d'un côté. Une inspection visuelle montre rapidement que ce n'est pas l'attache rapide du relevage qui s'est décrochée (ce serait d'ailleurs difficile) mais la biellette de liaison, juste au-dessus !
Celle-ci comporte une lumière oblongue, emboîtée sur un axe pivot portant lui-même une butée oblongue à son extrémité. Une seule position permet le passage, selon un angle normalement inaccessible en conditions normales d'utilisation.
Or, la butée du pivot est presque en position d'alignement lorsque le plateau est descendu !

Un simple comparatif avec l'autre tracteur montre bien le problème.

De plus, le problème cité précédemment concernant le relevage insuffisant du plateau pendant les transits fait que le pivot présente une usure significative laissant prévoir à plus ou moins long terme un inévitable remplacement de cette partie du relevage.

Je ne sais pas dans quelles conditions exactes le plateau s'est décroché et, pour l'instant, je me suis contenté de remettre la biellette en place sans pousser plus loin l'investigation.
Avant de crier au scandale, j'invite les propriétaires/utilisateurs dun tracteur de ce modèle à vérifier sur leur engin, au moins côté gauche.
Je ne peux cependant m'empêcher de constater que c'est encore sur le modèle le plus récent des deux tracteurs que ce problème survient, difficile de ne pas croire en une problème de baisse de qualité de fabrication. En plus des décrochages fréquents de l'avant du plateau, ça commence à faire pas mal de faiblesses au niveau du relevage ventral !

Si le problème se répète, je n'aurai pas d'autre choix que de démonter le relevage pour modifier la butée du pivot: en refaire une avec un angle approprié et si possible un peu plus épaisse.

A bientôt,
Nicolas.

Bonjour,

Les aventures continuent: l'un des tracteurs est revenu au garage avec un pneu à plat. Comme cela a été signalé précédemment sur ce forum, c'est la valve re gonflage qui fuyait à la base. Elle était tout simplement cisaillée et étant donné qu'elle ne dépasse pas de la jante, on ne peut invoquer un choc en circulation.
Pour expliquer un problème aussi fréquent, il n'y a que le défaut de fabrication ou de montage.
Il est également à regretter que le fait de signaler ce problème sur un bon de révision d'un matériel sous contat d'entretien ne soit pas suivi d'effet.

La réparation a été faite rapidement par un centre PointS à proximité. Les centres auto n'étant pas équipés pour des roues aussi petites (le problème se pose aussi pour les petites remorques bagagères), ils ne peuvent déjanter les pneus (ni équilibrer pour les remorques). Par conséquent, une valve neuve a été posée pais l'embase de l'ancienne est restée dans le pneu et se balade...

A 20 à l'heure, le balourd est à peine perceptible...

Cordialement,
Nicolas.

"A 20 à l'heure, le balourd est à peine perceptible"
20 à l'heure ? C'est un Kubota de course débridé ! Le 2350 ne dépasse pas 13 km/h. Hélas.

Et c'est là où l'on voit le positionnement de ce modèle par rapport au reste de la gamme : 23 cv mais des petites roues. Donc la puissance n'est pas là pour la vitesse mais pour le reste. Ce qu'il fait pas mal d'ailleurs.

Bonjour,

C'est vrai que le 2350 ne va pas bien vite, et ce exactement pour la raison invoquée: les petites roues. Des tracteurs moins puissants mais équipés des grandes roues agricoles, croisés en chemin, nous ont "grattés" sans difficulté !
20 à l'heure, ça sonnait mieux pour souligner le peu d'importance de laisser traîner un bout da caoutchouc à l'intérieur d'un pneu à des vitesses aussi ridicules...

Toujours est-il qu'un tracteur neuf va beaucoup plus vite pendant quelques temps, cela se sent particulièrment bien aux démarrages, puis les embrayages se rôdent et l'engin rentre dans le rang.

Ce manque de vitesse est quand même un regret dans le cadre de l'utilisation en entretien communal où il sert énormément en transit, jamais en agricole, et le reste en tonte de terrains de foot ou d'acotements de routes. Néanmoins, je le comprends sans problème car je vois bien les gars tondre à pleine vitesse. Que se passerait-il s'ils faisaient des travaux de force en volée ou s'ils foncaient avec des inclinaisons de terrain un peu trop prononcées ?

Pour info, j'ai eu l'occasion de me flasher à 9 sur un radar préventif, ce qui, compte tenu de la marge du radar, correspond à peu près aux 13km/h. 20, c'était avec le tracteur tout neuf, comparé avec une voiture, dont le compteur est lui-même surcoté et qui nous ramène dans les mêmes valeurs...

Bien cordialement,
Nicolas.

Bonjour,

En réponse à la question sur les crevaisons, je signale au passage un produit préventif vu chez Jardins-Loisirs mais probablement distribué aussi ailleurs.
Formule bleue est un liquide à introduire dans le pneu par la valve de gonglage en retirant le clapet anti-retour. C'est un peu plus compliqué qu'une bombe pressurisée mais ça peut rendre service et surtout éviter d'être planté en plein trajet.

Cliquez sur la photo pour l'agrandir et voir un peu plus de détails. Existe en deux contenances.

Cordialement,
Nicolas.

Bonjour,

Voici une mésaventure rencontrée sur le terrain et la façon de réparer:
Un des tracteurs est rentré accidenté au niveau du carter moteur et du capot. C'est visiblement un choc frontal qui est la cause de la casse mais il a curieusement été impossible de connaître les circonstances exactes de l'incident...
Toujours est-il que le capot ne ferme plus et que le carter ne reste plus en place et vient au contact de la sortie d'échappement, d'où fusion du plastique.
Provisoirement, des tendeurs ont été utilisés pour tout tenir à peu près en place et finir le service mais ça ne fait vraiment pas sérieux.

1ere partie:
Le carter est déposé et mis de côté. Le capot ne ferme plus car le système de fermeture ne s'enclenche plus. En fait les deux parties se chevauchent. Pourtant, rien ne semble tordu, même au niveau de la charnière. C'est en fait toute la structure verticale, vissée au chassis, qui a bougé dans le logement des vis !

Il suffit donc de débloquer les boulons, d'ajuster la fermeture du capot et de resserrer tout en vérifiant que le capot se ferme, se verrouille et s'ouvre bien.

2Eme partie:
Maintenant que le capot est en place, on a une référence pour replacer le carter, lequel n'a plus de fixations supérieures et ne peut rester en place. De plus, tout le haut de la face avant est cassé à différents endroits (il manque des morceaux), ce qui cause une souplesse excessive et donc encore plus de déformation.
Le carter est à l'envers sur la photo.
Par chance, la forme du carter présente un creux à fond plat ou presque qui courre tout le long et qui permet d'y placer un renfort métallique.

La méthode qui suit a été établie avec des matériqux de récupération et comporte donc des étapes qui pourraient être évitées mais ce serait au prix d'une difficulté de réalisation supplémentaire.

Du fer plat de dimension proche du logement est cintré pour épouser la courbure frontale et les rayons de chaque côté.

Il faut veiller à coller au plus près au profil interne du carter pour éviter que les fixations à venir (boulons ou rivets) n'exerce trop d'efforts et cassent le plastique.

Cet arceau est mis en place temporairement avec des serre-joints et percé/vissé de sorte à ce que la face avant soit bien placée.

Cela permet une mise en position du carter et de préparer la suite: l'extension sur les côtés pour prolonger le maintien.

A cet effet, deux autres fers plats sont galbés en fonction du carter pui une feuillure est réalisée à l'extrémité devant chevaucher l'arceau. La longueur du renfort doit être adaptée au carter car le logement n'est pas droit.

Cela fait, on immobilise le tout avec des serre-jointset on pointe au poste à souder (opération à faire rapidement pour limiter l'échauffement et ne pas trop fondre le plastique).

On démonte rapidement la pièce métallique puis on complète les cordons de soudure. Pendant que cela refroidit, les réparations précédentes des pattes de fixation sont retirées, du moins ce qu'il en reste, et ce qui gêne éventuellement est enlevé avec une grosse râpe.

L'arceau rallongé est remis en place ( avec les vis près des angles et le reste avec des serre-joints) et le carter est présenté sur le tracteur. Les tendeurs utilisés au tout début sont ici utiles pour maintenir le tout à la place souhaitée, ce qui permet de définir le dimension et la forme des nouvelles pattes de fixation.

Elles sont tout simplement taillées dans les chutes du fer plat, cintré ou plié de sorte à relier l'arceau au dessus des points d'ancrage. Les pattes maintenues par un serre-joint, un coup de crayon au travers de l'écrou prisonnier (par le dessous) permet de marquer le percage. Un diamètre de 10mm laisse une marge d'erreur suffisante.

Une fois percées, les pattes sont mises en place avec les vis d'origine et leur empreinte est soigneusement tracée sur l'arceau. Les côtés droite/gauche doivent être repérés.
On démonte tout pour la soudure des pattes aux emplacements repérés.

Le résultat est ceci:


Cet arceau est ensuite positionné sur le carter et maintenu par des serre-joints. Des trous sont pratiqués le long de l'arceau (pas trop pour ne pas fragiliser le plastique) et les fixations sont réalisées par des rivets ou des boulons additionnés de frein-filet moyen.
La rigidité obtenue est très satisfaisante. elle pourrait encore être augmentée en ajoutantdeux pattes supplémentaires et une traverse démontable passant au-dessus du moteur.
Un essai statique montre que la carter ne bouge pratiquement plus aux différents régimes moteur. Reste à vérifier sur route...

Touts les manipulations du carter pour cette réparation ont mis en évidence un début de cassure dans les angles inférieurs, au fond des découpes pointues de passage du chassis. Un autre refort sera décrit prochainement pour éviter la propagation des cassures.
Les essais ont également monté une vibration du capot ainsi qu'un léger dépassement à la fermeture. En y regardant de plus près, une des entretoises en plastique est cassée et ne retient plus l'attache métallique. Le réparation sera également présentée une prochaine fois.

A bientôt,
Nicolas.

Bonjour,

Réponse très tardive, mais mieux vaut tard que jamais, concernant le remplacement de la batterie:
Un modèle équivalent est la n°8 de chez Power Planet en 50Ah.

Les dimensions correspondent mais les bornes sont inversées par rapport à la batterie d'origine. Heureusement, les câbles sont assez longs pour compenser.
Attention, il ne s'agit pas d'une batterie auto classique, du moins, le numéro 8 ne correspond pas à celui d'autres marques. Pour assurer le coup, il faut rechercher par la capacité en ampères-heures (Ah) plus les dimensions extérieures.
Il ne faut pas trop s'écarter de la capacité car l'alternateur ne pourrait pas charger une batterie plus puissante dans de bonnes conditions.
Il y a d'autres marques qui proposent des modèles équivalents, à vous de rechercher ce qu'il y a près de chez vous...

Cordialement,
Nicolas.

Bonjour,

Voici la suite du renforcement du carter puis celui du capot:

Commençons par le carter dont la face avant comporte des encoches en pointe pour contourner les angles du châssis. ces encoches ont une forme malheureuse car l'angle vif rentrant constitue une amorce de cassure inévitable.

Pour éviter d'en arriver à la rupture complète de la partie basse du carter, un arceau va également être posé.

Il est formé à froid dans un fer plat tiré d'une tringlerie de porte de récupération. L'avantage est qu'il est bichromaté et possède donc une protection anticorrosion.

Le carter présente là aussi un dégagement qui permet de placer l'arceau, on se demande s'il n'y en avait pas un de prévu à la conception et non monté par économie...
Le cambrage doit suivre le galbe intérieur au plus près et les trous être placés de part et d'autre des cassures, mais pas trop près pour ne pas créer une ligne de fragilité. Le simple fait d'immobiliser les bords suffit à empêcher l'apparition de tractions qui allongeraient les fissures.
Le fait de bien coller au profil permet que le rivetage se fasse sans trop déformer le plastique sous la tête du rivet.

Venons-en au capot:
Celui-ci a souffert d'un choc avant et du recul de la platine support. L'effort transmis par la barre métallique médiane a provoqué la rupture d'une des colonnes support du doigt de verrouillage.

A ce stade, ça tient encore el on peut se contenter de percer deux trous dans le fer plat et le capot puis de riveter. On limite ainsi les efforts sur la colonne restante.
Une autre solution, qui aurait d'ailleurs pu être employée d'origine, est de supprimer toute trace de la colonne cassée et de la remplacer par une entretoise usinée comportant une surface d'appui assez importante pour répartir les efforts. Une vis poëlier traversante briderait le tout.

Dernière touche sur le capot: celui-ci ne repose pas sur les côtés et vibre fortement au ralenti. Des bandes de mousse adhésive servant à l'isolation de portes et fenêtres ont été ajoutées sur la console et sous le capot pour limiter ce mouvement parasite.


Tout cela n'est que rafistolage mais permet néanmoins de continuer à rouler avec un engin "présentable" et fat faire des économies substantielles, utilisables a l'achat d'accessoires...

Cordialement,
Nicolas.

bien le bonjours a vous cela fesais un moment que je ne suit plus passer par ici et je constate que touche a tous n'ai pas très épargner avec les problèmes de ces engins,pour ma par je n'ai pas de eu de souci majeur pour cette saison.

A par un petit souci de faiseaux électique au niveau du passe fil situer derièrre les feux au niveux de l'arceau. ( fils dénuder du au frotement car je travail souvent arceau replier) .

Autre petit souci et cela ai du a ma propre bétise (lames du gyrobroyeur exploser) elle on pas aimer un paver qui trainais.
J'ai aussi apporter de petite modification a ma remorque ( greffe de réhausse maison ainsi qu'un gyrophare sous la benne)

J'ai aussi fais l'acquissition d'un benne trois point qui me convient parfaitement hormis la phase accroche, décroche qui ai laborieuse du fais que le relevage du tracteur ne déssende pas assez bas. ce qui m'a obliger de fabrique un support pour la remiser.

Sur ceux je vous dit une bonne continuation a tous et des que j'ai le temps je vous mes de photos de mon matériel ainsi que de modification.

Bonjour,

Merci pour ces nouvelles. On attend avec impatience de voir les modifications/améliorations.

En ce qui concerne les deux tracteurs dont je suis la parcours, je dois préciser qu'ils sont utilisés par un service technique communal et subissent tous les jours un usage intensif (transit sur route irrégulière, ralentisseurs, chemins défonçés, fortes pentes, toujours à fond). Les gars qui les conduisent ne sont pas spécialement attentifs à ce que le matériel peut encaisser, par exemple en dondant le bord d'un fossé sous des arbres, ce qui racle dans les branches, parfois un peu trop, d'où la casse.
On est assez lojn de l'utilisation habituelle, soigneuse et prudente.

Cet été, en plus des carter et capot, il y a eu un gyrophare arraché et un pneu crevé par une vis. Pour ce dernier, la réparation ne sera engagée qu'à la prochaine révision du tracteur, pour lequel un réglage de parallélisme sera demandé. Les pneus avant sont lisses, ce qui laisse supposer que le changement de rotule de direction mentionné dans un message précédent n'a pas donné lieu à un réglage correct dans la foulée !
Le deuxième tracteur commence également a présenter une usure prononcée de ses pneus avant, il subira le même sort. Je pense qu'il s'agit là d'un problème de mauvaise réparation, en plus d'une utilisation trop imprudente, la conception du matériel n'y est pour rien.

A bientôt,
Nicolas.

De mon coté rien a dire,tout roule parfaitement,pas le moindre problème (pourvu ça dure........)