Bonsoir....
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Brouillard électromagnétique et ondes de type téléphonie mobile
Parmi les ondes électromagnétiques parasites, celles de type téléphonie mobile (téléphones portables et sans fil de maison, antennes-relais, Wifi, Wimax, consoles de jeux vidéo...) jouent un rôle prépondérant dans le brouillard électromagnétique qui nous envahit chaque jour davantage.
Avec une densité de puissance 2 millions de fois plus élevée que celle des micro-ondes naturelles qui nous entourent, les micro-ondes artificielles interfèrent avec le propre magnétisme humain et son métabolisme régi lui-même par des processus électromagnétiques et des phénomènes biochimiques.
Depuis la publication en août 2007 du rapport BioInitiative Working Group la controverse sur les effets sanitaires, entretenue et alimentée par les études financées par le lobby des opérateurs et des fabricants, n’a plus lieu d’être.
Ce rapport scientifique, élaboré par une quinzaine de scientifiques internationaux indépendants, a repris plus de 1 500 études scientifiques publiées en quinze ans. Il a été validé par l’Agence européenne de l’environnement, par le Parlement européen en septembre 2008 ainsi que par la justice civile française en mars 2009 (Cour d’appel de Versailles), tandis que les autorités sanitaires françaises, manifestement sous le joug des opérateurs, continuent de le dénier ne retenant que des effets thermiques.
Ont été ainsi mis en évidence la perte d’étanchéité de la barrière entre sang et cerveau, la rupture de fragments d’ADN suffisamment importante pour que les processus naturels d’autoréparation ne soient plus opérants permettant ultérieurement le développement de cancers ; les perturbations des régulations membranaires des cellules ; une augmentation du stress oxydatif - impliqué dans les cancers, le diabète, les maladies d’Alzheimer et de Parkinson -, la baisse de la sécrétion de la mélatonine...
Ces perturbations sont à l’origine de pathologies fonctionnelles répertoriées médicalement comme syndrome des micro-ondes (troubles du sommeil, céphalées et algies diverses, fatigue, palpitations...), troubles de la concentration, de la mémoire et du comportement notamment avec violence ainsi que de pathologies organiques dont la fréquence croît régulièrement depuis une dizaine d’années : cancers du cerveau, du sein notamment, leucémies chez les enfants en particulier, maladies neuro-dégénératives comme Parkinson et Alzheimer, dont le nombre s’élevait à 750 000 cas en 2008 avec 250 000 nouveaux cas chaque année selon le président de la république...
A la limite légale d’exposition aux radiations émises par les ondes de type TTM, il a ainsi été démontré qu’une protéine de la barrière hémato-méningée, appelée HSP27, perdait sa capacité à protéger les cellules cérébrales des poisons chimiques de plus en plus nombreux présents dans le sang (Réf : Reuters, 19 juin 2002).
Ont également été mises en évidence des fuites significatives d’albumine dans le cerveau ainsi que des dommages neuronaux dans le cerveau des rats exposés deux heures aux radiations d’un téléphone portable. Les centres cérébraux de la mémoire, du mouvement et de l’apprentissage étaient particulièrement concernés chez ces rats dont l’âge correspondait à celui d’enfants de 10 ans (Pr Leif Salford, Lund University, janvier 2003). Cette albumine permet dès lors à l’aluminium qui s’y fixe de rentrer dans le cerveau facilitant le développement de maladies d’Alzheimer ou de Parkinson, voire d’autres maladies neuro-dégénératives.
A un âge où les processus biologiques et de maturation sont particulièrement vulnérables, l’utilisation intense des téléphones portables - qui se cumule à l’exposition aux antennes-relais, au Wifi, aux consoles de jeux, aux ordinateurs, à la télévision... - soulèvera rapidement des problèmes équivalents chez l’homme. Si, pour le Pr Salford, « de tels dommages neuronaux peuvent ne pas avoir des conséquences immédiatement démontrables, malgré la répétition, ils peuvent cependant à la longue réduire la capacité de réserve de cerveau qui pourrait se révéler ultérieurement par une autre maladie neuronale [...] après quelques décennies d’utilisation quotidienne, des générations de teenagers se préparent à subir une sénilité précoce dans la première partie de leur vie, du fait de l’usage du téléphone mobile et des nouvelles technologies sans fil ».
Nous savons, d’autre part, que la fréquence du cancer du sein hormono-dépendant a plus que doublé depuis 25 ans. Si différents facteurs comportementaux individuels ou éventuellement environnementaux (minimisés) sont envisagés, la baisse de la sécrétion de la mélatonine n’est pas retenue par les instances sanitaires officielles. Pourtant, il est clairement démontré que la mélatonine joue un rôle dans la régulation de l’expression de nos gènes. La nuit, sa production inonde notre corps, éliminant l’accumulation de radicaux libres au fur et à mesure de leur production, ce qui favorise la synthèse de l’ADN et le mécanisme des divisions cellulaires avec beaucoup moins de risques d’erreurs permettant ainsi la production de cellules de meilleure qualité. La mélatonine constitue donc probablement la protection cellulaire naturelle la plus efficace en tant qu’agent oncostatique, donc anti-cancer.
La mélatonine diminue également la production d’œstrogènes dont l’imprégnation prolongée peut augmenter le risque de cancer du sein. En raison de l’hypersensibilité électromagnétique de la glande pinéale, la sécrétion nocturne de la mélatonine peut être réduite, voire annulée par une densité de puissance aussi faible que 2,2 microW/m2 (soit 0,275v/m) ce que permet une installation électrique défectueuse, un radio-réveil, une télévision, un téléphone portable, une antennes relais, le Wifi, ou même un ordinateur.
Précisons que le seuil recommandé par les experts indépendants du consortium BioInitiative est de 0, 614 V/m, tandis que le seuil retenu par les agences sanitaires est de 41V/m pour les GSM et de 58 V/m pour l’UMTS alors qu’« il n’y a pas de doute que les rayonnements des portables UMTS sont dix fois plus préjudiciables que ceux du GSM classique. Des coupures de brins ADN apparaissent à seulement 1/40ème des valeurs limites, les signaux UMTS ont une efficacité supérieure presque de dix fois à celui du GSM » selon le Pr Adlkofer, Coordinateur Général de l’Étude Européenne REFLEX.
Sans réforme en profondeur de la législation concernant l’installation des antennes et l’utilisation des téléphones portables ainsi que du Wifi, il est évident que nous allons au-devant d’une catastrophe sanitaire majeure prenant en otage l’ensemble des citoyens et particulièrement les plus sensibles, nos enfants et nos aïeux.........
On peut quand même se poser des question....
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....On a souvent besoin d'un plus petit que soi.