re,
Ok pour l'argument rubrique bavardage, mais j'espère quand même que ça ne deviendra pas un forum politique...
Ccela a contribué a virer des fonctionnaires, et ne plus embaucher de "contractuels" pour la saisie gain de pognon puisque pas a payer et chomage en plus!
A ce que je sache, il n'y a jamais de licenciements secs dans l'administration, uniquement des départs en retraite non remplacés ou des fins de contrat. Dire que cela fait augmenter le chômage est donc une exagération. Précarité pour les contractuels, je veux bien, mais personne n'a été pris en traitre, un contrat de deux ans ne dure que deux ans, c'est pas un CDI.
De là à toujours tout coller sur le dos des riches, ça devient lassant. C'est comme au début de l'émission Capital de M6. Tout le monde disait, c'est des fumiers, ils exploitent les gens, tout ça. Puis au fil du temps, le ton a changé et les sujets étaient un peu moins polémiques, insistant plus sur le caractère de la réussite.
Il y a donc toujours deux façons de voir les choses, je crois qu'on ne sortira pas de la crise tant que certains français feront peur aux autres en ne parlant que du côté noir.
Ce serait bien bien si tous ceux qui réclament toujours plus de fric se mettaient à la place de celui qui doit le sortir. Parce que c'est ça le problème, on en veut mais sans rien lâcher.
Désolé pour ceux là, mais l'économie intérieure d'un pays est en circuit semi-fermé. Les impôts pour faire tourner l'action de l'état dont la santé, l'aide sociale, le chômage... Les aides en questions sont donc financées uniquement sur les prélèvements obligatoires. Jouer sur l'un a donc forcément un effet sur l'autre. Le déficit, c'est la différence entre ce que l'état reçoit par les impôts et dépense pour les aides et son fonctionnement.
Les économies sur le fonctionnement ne peuvent se faire que sur la seule variable d'ajustement possible, la masse salariale très mal déployée.
Modifier l'utilisation des recettes fiscales par un réaménagement des réductions dans le but d'en faire profiter les classes les plus fragiles ne mérite pas une telle contestation.
A l'inverse, il serait bon de toujours se poser la question du coût final des revendications. Dans ce système semi-fermé, il y a toujours un retour de manivelle, et pas de pot, c'est pas une question de capitalisme !
Nicolas.